Message mensuel de Sylvain
Aujourd’hui, ma lettre revêt un caractère bien spécial. En effet, je tenais à partager avec vous une décision que j’ai dû prendre le 22 mars dernier: la décision extrêmement difficile de laisser partir mon fidèle Gabriel, un chien qui était avec moi depuis quatorze ans et demi.
Il y a quelques années, alors que j’étais de passage à Paris, j’ai eu l’immense privilège de visiter la chapelle de Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse en compagnie d’un groupe de pèlerins. J’avais été très touché par ce havre de paix situé en plein cœur de Paris.
Le printemps, saison du renouveau, m’inspire à vous parler de beauté et d’amour. En philosophie, on enseigne d’ailleurs que ces deux notions sont convertibles : on a tendance à trouver beau ce que l’on aime et on aime ce que l’on trouve beau. Et si c’était la piste que Fiodor Dostoïevki nous invitait à suivre lorsque, dans son roman intitulé L’idiot, il fait dire à son personnage Mychkine : « La beauté sauvera le monde » ?
C’est avec bonheur que je reviens vers vous, alors que le printemps vient d’éclore, non seulement, autour de nous, mais aussi en nous, car désormais, tout laisse penser que le plus périlleux s’est éloigné de nos vies.
C’est avec une joie toujours renouvelée que je vous retrouve par le biais de cette lettre mensuelle. Au moment où j’écris ces lignes, on nous annonce une sixième vague de COVID-19, qui vient s’ajouter à la guerre en Ukraine!
Je suis encore une fois très heureux de vous retrouver en ce début du Carême 2022. Il y a quelques semaines, comme ce fut le cas pour des milliers de personnes, j’ai contracté la COVID-19...
Nous traversons actuellement un temps difficile à cause de cette pandémie qui affecte toutes les couches de notre société : maladies, deuils, angoisses, isolement, perte de travail, etc. C’est en étant solidaires que nous arriverons à traverser cette période sombre de nos vies.
Depuis bientôt deux ans, nous vivons une situation historique avec la COVID-19. Vivre dans un contexte de pandémie est difficile pour tout le monde et nous avons tous et toutes hâte de passer à autre chose.
Vous êtes plusieurs à m’avoir écrit récemment pour me confier votre anxiété relativement à la recrudescence de la COVID-19. Si vous saviez comme je vous comprends et que tout comme vous j’ai très hâte que cet épisode soit derrière nous !
Comme plusieurs d’entre vous, je l’espère, je conserve de beaux souvenirs des jours de l’An de ma jeunesse. Chez les Giard, des jeux, des chants et des histoires égayaient la soirée, une des plus belles de l’année. Mais, avant toute chose, on chantait tous ensemble Mon Dieu, bénissez la nouvelle année.
En ce mois de décembre annonciateur de la belle fête de Noël, j’entre discrètement dans votre foyer par l’intermédiaire de votre courrier.
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Il y a plus de 2000 ans, Jésus, Celui qui a épousé notre nature humaine, est venu bouleverser le monde, et ce, à tout jamais. Avec son message d'Amour destiné à tous les êtres humains, quelle que soit leur condition, Il propose un chemin. IL nous montre l'idéal que nous devons atteindre pour participer à la Joie du Père : vivre en communion les uns avec les autres et ainsi demeurer dans son Amour! Il est le Chemin, la Vérité et la Vie!
— Sylvain Charron
