Ensemble, avec Marie, transmettons l'ESPÉRANCE qui fait vivre !
Enfin, le mois de mai ! Mois de Marie, oui, précisément parce qu'il s'agit du mois de l'espérance... d'un printemps qui redonne vie à la nature et à nos coeurs, par la foi, qui donne l'espérance qui fait vivre.
Aujourd'hui, je voudrais qu'on réfléchisse ensemble sur un grand mal, qui touchent plusieurs de nos proches, voire la société tout entière : la désespérance. Plus je fréquente les jeunes auxquels j'enseigne, plus je lis les journaux, plus j'écoute les téléjournaux, plus il m'apparaît clair que la première mission des chrétiens devrait être de redonner de l'espérance à notre monde.
En effet, on sait bien que les gens ont perdu la foi, mais est-on conscient du fait qu'ils ont aussi et surtout perdu l'espérance ! Or, l'espérance, ce n'est pas rien, c'est même... essentiel à la vie !
La vie étant ce qu'elle est, avec son lot d'épreuves et de souffrances, comment peut-on vivre sans espérance ? Ne reste alors que les espoirs, qui déçoivent toujours, tôt ou tard. Car tout ce qui est humain, lié à nos espoirs terrestres, déçoit tôt ou tard – la politique, l'économie, etc. Puis, à la fin, se pointe la mort qui, dans son absurdité, met le dernier clou au cercueil de nos espoirs déçus. Absurde, la vie sur terre, ont écrit plusieurs philosophes du désespoir – qui avaient tort !
Heureusement pour nous, Dieu est venu en Jésus insuffler l'espérance – divine – en nos coeurs. Une espérance qui vaut pour hier, mais aussi pour aujourd'hui et demain, pour toujours ! Cette espérance, c'est Marie, notre mère, qui l'a accueillie la première en notre nom par son OUI à Dieu.
L'espérance, c'est l'autre nom du christianisme. Relisez l'évangile et vous verrez, Jésus ne fait que cela, ouvrir des brèches dans les murailles de notre désespoir, de notre désespérance, RIEN ne lui résiste, aucune maladie du corps et de l'âme, aucune tentation, aucun péché, même la mort s'avoue vaincue devant Lui. Repensez à la bouleversante Marie-Madeleine, ma soeur, votre soeur dans la foi; elle sait combien Jésus, c'est l'espérance-fait-homme !
Heureusement pour nous, Dieu est venu en Jésus insuffler l'espérance – divine – en nos coeurs. Une espérance qui vaut pour hier, mais aussi pour aujourd'hui et demain, pour toujours ! Cette espérance, c'est Marie, notre mère, qui l'a accueillie la première en notre nom par son OUI à Dieu.
Hier comme aujourd'hui, qui laisse sa route croiser celle de Jésus retrouve l'espérance, et du coup, une raison d'exister, de vivre. Et, en bonus, la joie.
Ce qui m'afflige, c'est que notre monde, les gens autour de nous, meurent faute d'espérance; quand on espère plus rien de la vie, on est capable du pire : se tuer (c'est là la cause de nos records de suicide au Québec), mais aussi... tuer, jusqu'à l'horreur, comme ces parents de chez nous qui ont tué leurs enfants. Réalisez-vous à quel point l'espérance est un bien ESSENTIEL pour l'être humain; qui en est privé est menacé à court ou moyen terme.
Nous, de La Victoire de l'Amour, nous travaillons avec l'Église de Dieu (catholique romaine) à diffuser cette espérance dans les coeurs par le biais de la télévision et d'internet. Chacune des émissions, des témoignages, des commentaires d'Évangile que vous entendez au fil des jours, TOUT ce travail ne vise que cet objectif : insuffler de l'espérance dans les coeurs, cette espérance qui est un fruit de la foi. Car qui a la foi a aussi l'espérance, et la charité, qui sont comme les doigts de la main. Plus forte la foi, plus forte l'espérance et plus ardente la charité. La foi est la porte d'entrée de l'espérance et de la charité. La Victoire de l'Amour veut offrir au plus grand nombre le... secret du bonheur sur terre et au ciel !
Pendant ce beau mois de mai, demandons tous à Marie de nous aider à mieux vivre et témoigner de cette espérance qui nous fait vivre; demandons-lui, dans notre prière nourrie des sacrements de vie divine, de nous aider à devenir des diffuseurs d'espérance dans nos milieux respectifs, au travail, dans nos familles, notre voisinage.
Personne mieux que Marie, qui a connu son lot d'épreuves – repensez à elle devant la croix où agonisait son fils, où la mort et le péché semblaient vaincre la vie... –, personne mieux qu'elle ne connaît la valeur de l'espérance. À la croix, elle incarnait l'espérance, elle était l'Église et chacun(e) de nous qui espère : Jésus, j'ai confiance en Toi, tu es plus fort que toutes mes nuits, épreuves, souffrances, que ma mort même ! Avec Marie, réapprenons à espérer, et apprenons-le à ceux et celles qui se meurent faute d'espérance dans leur vie.
L'espérance, c'est le fruit de la rencontre personnelle avec Jésus. C'est la certitude inébranlable au coeur de notre âme, de notre être, que notre vie, aussi banale semble-t-elle, que l'on soit malade ou en santé, n'est pas inutile, qu'elle a un sens, une direction, de notre naissance à notre mort. Et l'espérance que donne la foi, c'est d'abord et avant tout la certitude que l'on n'est pas seul ! Qu'un autre veille sur nous, par amour.
La solitude de l'âme coupée de Dieu et d'espérance, c'est la pire souffrance qui soit. C'est l'enfer sur terre.
Avec Marie, réjouissons-nous, et aidons les autres à se réjouir : Jésus est ressuscité, IL est là, sur les routes de nos vies, en Galilée comme ailleurs, Il nous attend, car Il nous aime.
Car notre espérance, elle est fondée sur le roc de l'amour de Dieu pour chacun et chacune de nous. Un amour qui fait vivre, et sur lequel la mort n'a pas de prise.
Joyeux mois de mai, avec Marie, notre mère et éducatrice dans la foi !
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