Bonjour,
C’est toujours avec une grande joie que je vous retrouve afin de partager avec vous des sujets qui me tiennent à cœur !
Il y a quelques semaines, une dame m’écrivait en privé sur notre page Facebook. Cette dame était dans une grande détresse et vivait une très grande souffrance et songeait au suicide. J’ai pris le temps de lui répondre en lui promettant de prier pour elle et en lui suggérant d’aller se ressourcer à l’abbaye de St-Benoit-du-Lac. Et par la suite, plus aucune nouvelle ! Je dois vous dire que j’étais inquiet, mais je continuais de demander au Seigneur d’intervenir dans la vie de cette femme. Et voilà qu’il y a quelques jours, je reçois un magnifique message de gratitude de cette dame. Elle me dit d’abord qu’elle avait été surprise de recevoir une réponse de ma part et pour elle ce fut un nouveau départ. Quelqu’un avait pris soin de s’intéressé à elle ! Aujourd’hui cette personne va beaucoup mieux et elle me disait que grâce à la prière, le pire a été évité. Gloire à Dieu !
Si vous saviez la joie que cela me procure lorsque je reçois des messages comme celui là. Quelqu’un qui passe de la mort à la VIE. C’est pour cela qu’il est très important pour moi de répondre à mes messages. Il est vrai que je ne peux pas répondre toujours aussi vite que je le voudrais, mais je réponds. Tout ça pour vous dire que vous êtes importants pour moi. Lorsque je dis à une personne que je vais prier pour elle, cela est sacré pour moi. Et, comme vous le savez, la prière fait des miracles.
Je veux aujourd’hui vous parler d’un sujet qui me tient à cœur; la médisance et la calomnie. Que des réputations et des vies brisées à cause du placotage. Et le pire, c’est que des croyants tombent dans le piège du malin. Car il faut se dire les choses comme elles sont…le placotage ne vient pas de Dieu, mais bien du MAL !!!
Voici d’ailleurs ce que le bon pape François disait lors d’un de ces discours… c’est tellement clair et vrai :
« Vous avez appris qu’il a été dit aux anciens : Tu ne commettras pas de meurtre… Eh bien moi, je vous dis : Tout homme qui se met en colère contre son frère en répondra au tribunal. » (vv. 21-22). Par là, Jésus nous rappelle que les paroles aussi peuvent tuer ! Quand on dit d’une personne qu’elle a une langue de vipère, que veut-on dire ? Que ses paroles tuent ! Par conséquent, non seulement il ne faut pas attenter à la vie du prochain, mais il ne faut pas non plus déverser sur lui le poison de la colère ni le frapper avec la calomnie. Ni dire du mal de lui. Nous arrivons aux médisances : les médisances, aussi, peuvent tuer, car elles tuent la renommée des personnes ! Il est si laid de médire ! Au début cela peut sembler une chose agréable, même plaisante, comme sucer un bonbon. Mais à la fin, cela nous remplit le cœur d’amertume, et nous empoisonne nous aussi. Je vous dis la vérité, je suis convaincu que si chacun de nous prenait la résolution d’éviter les médisances, à la fin il deviendrait saint ! C’est une belle route ! Voulons-nous devenir saints ? Oui ou non ? Voulons-nous vivre attachés aux médisances comme à une habitude ? Oui ou non ? Alors nous sommes d’accord : pas de médisances ! »
– Pape François
Demandons au Seigneur de nous aider à ne pas tomber dans ce piège de la médisance et de la calomnie.
Je suis tellement content de vous parler du cadeau du mois. Beaucoup de personnes nous demandent un chapelet en Bois d’Olivier; et je dois vous dire que celui-ci a quelque chose de très spécial. Chaque chapelet est fait à la main par une communauté religieuse du Mexique. Les sœurs de cette communauté nous ont assurés que ce travail de confection des chapelets est fait dans la prière. Elles prient pour chaque personne qui recevra le chapelet. Et la supérieure de la communauté a dit mille fois MERCI de faire fabriquer les chapelets par eux et non dans une usine. Car c’est une communauté qui n’est pas riche et la fabrication des chapelets les aide dans leur mission auprès des pauvres. Cela est extraordinaire, car en faisant un don à La Victoire de l’Amour et en recevant le chapelet, vous aidez aussi des personnes très démunies.
En terminant, je vous remercie de tout cœur pour votre don du mois d’août, car pendant la période des vacances de juin et juillet, cela a été difficile financièrement. Malheureusement, les factures ne prennent jamais de vacances. Mais je mets toute ma confiance en Jésus, Maître de l’Impossible !
Mon cœur vous serre la main !
Sylvain Charron
Au moment ou j’écris cette lettre, je suis à la toute fin du pèlerinage avec Sœur Angèle et un groupe de 104 personnes. Je dois vous dire qu’à tous les jours j’ai prié pour vous, et d’une façon toute spéciale à Assise, ce petit village ou Saint-François a vécu. Pendant le pèlerinage, j’ai eu le privilège de rencontrer une personne formidable. Son prénom est Raymond et cet homme m’a évangélisé sans le savoir.
Nous voici enfin rendus au mois de juillet. Je dis enfin parce qu’il me semble que l’année qu’on vient de passer a été chargée de toutes sortes d’évènements qui nous ont tous un peu ébranlés. Je pense à tous ces attentats barbares qui ont frappé un peu partout dans le monde, à ces nouveaux dirigeants mondiaux qui brouillent un peu la manière de gouverner dont on s’attend habituellement.
C’est toujours avec une grande joie que je vous retrouve grâce à cette lettre mensuelle. En ce mois de juin qui commence, j’ai le goût de vous raconter un évènement que j’ai vécu récemment. Le mois dernier, j’étais entrain de prendre un café chez Tim Horton et je lisais tranquillement lorsqu’un jeune homme de 24 ans demande à me parler. Je l’invite à s’asseoir… il me demande si j’ai un peu de temps et je lui dis OUI !
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