BIENHEUREUX LE PÈRE
Georges Madore
Je viens donc, ô mon aimable Souveraine et compatissante Maîtresse reconnaître mon incapacité, mon orgueil, ma légèreté, mon inconstance, ma négligence, ma paresse, mais surtout ce qui me fait gémir le plus à vos pieds : l’attache à moi-même qui me rend si peu généreuse à votre service et pour celui de votre Divin Fils.
Elle rappelle à Marie les deux grâces qu’elle lui avait demandées 15 ans plus tôt :
a) la préserver de tout péché mortel
b) la détacher de l’affection au péché véniel
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